D'après vous, en combien de temps, cette cordée de troques a-t-elle réussi à se hisser sur ce rocher ?

Eh bien, elle a dû faire son voyage-ravitaillement aller-retour pendant que son abri minéral était immergé... disons entre 1 et 2 heures.

Ce qui représente une course à fond la caisse et même ventre à terre si on en croit l'étymologie de leur nom scientifique : gastéropodes .

Laissons-les donc souffler un peu jusqu'à la prochaine marée haute.

Comme le premier Quid de mes rubriques (voir l'article "le lierre est toujours vert") a obtenu un vif succès, rebelote avec ce tapis de feuilles : à vous de reconnaître à quelles essences d'arbres elles appartiennent.

Rien à gagner à ce jeu, à part le plaisir de ressortir de votre bibliothèque, votre "Guide des arbres et arbustes d'Europe" qui commençait à prendre la poussière...

(Réponse dans un prochain article, le temps que je retrouve mon "Guide des arbres et arbustes d'Europe"...)

ou 4 petites histoires de méduses : 4e service

Près de l'étang de Trunvel, en baie d'Audierne, parmi les galets de l'Ero Vili (le cordon de galets bigouden), un caillou pas comme les autres :

c'est (encore) une méduse échouée.

Si vous n'arrivez pas à mettre l'oeil dessus, allez-y à tâtons sur votre écran !

ou quatre petites histoires de méduses : deuxième service

C'est toujours surprenant de voir comment la nature invente des structures très voisines pour organiser des matières totalement étrangères : ici, silice et protéines.

Sur la même plage de St Brévin les Pins, presque côte à côte, ces festons de ruissellements sur le sable ne ressemblent-ils pas étonnamment à ces tentacules de méduses échouées ?

L'alternance, sur plusieurs jours, de phases de gel et de dégel, finit par sculpter la surface gelée des mares et créer d'étranges

et mystérieuses figures de glace.

Sur celle-ci, on pourrait y voir l'impact d'un immense oiseau.

Hélas, pas de trace de la boîte noire pour nous permettre de touver

 une explication rationnelle à ce terrible crash.