On peut tout faire avec du barbelé... un bâillon par exemple... et difficile à arracher.
Y a pas à se demander pourquoi on en a fait le symbole de la répression...
On peut tout faire avec du barbelé... un bâillon par exemple... et difficile à arracher.
Y a pas à se demander pourquoi on en a fait le symbole de la répression...
Après les plaisirs de la vue et du goût, n'oublions pas notre odorat. Une grande bouffée de l'air tonique de la garrigue*, ça réveille !
* ou du maquis, si vous préférez...
(Le thym n'est pas sur la photo, mais on le sent bien !)
Ce n'est pas le visage du Saint Suaire, mais avec une couronne d'épines en barbelés, ça peut le faire !
Non seulement, il en est issu un pinard pas dégueux, mais les vignobles de Banyuls ont un look qui tape dans l'oeil !
Je rêve que le réchauffement climatique transforme ainsi nos côtes bretonnes... Bye Bye choux-fleurs et artichauts !
Eh oui, la résistance est durable et renouvelable !
(voir mon article précédent "Portraits de Korrigans 9")
Hélas non, ce ne sont pas les anneaux de Saturne : je ne possède pas de télescope suffisamment puissant pour réaliser ce genre de photos... C'est un détail du portail d'entrée du domaine de Paulilles.
Le domaine de Paulilles est un site du Conservatoire du Littoral et du Conseil Général des Pyrénées Orientales situé sur la Côte Vermeille, entre Port-Vendres et Banyuls.
Cette ancienne friche industrielle (la dynamiterie Nobel !) qu'un projet de marina élitiste menaçait de saccager dans les années 80, a été magnifiquement réhabilitée, classée, et ouverte au public avec la volonté de la protection de l'environnement et de la défense du parimoine maritime.
C'est un endroit superbe, que je vous invite à découvrir.
(Ainsi que le vin de Banyuls-Collioure qui va avec !)
Et si vous voulez savoir pourquoi j'ai trouvé ce site à mon goût, et en fais de la pub gratos*, c'est qu'il concentre une bonne part de mes obsessions photographiques : en voici quelques unes.
* enfin, j'espère que si un responsable de la com du CG 66 tombe sur cet article, il m'enverra un bocal d'anchois de Collioure (à l'huile d'olive, SVP) et une bouteille de vieux Banyuls...
Un environnement pas désagréable...
Un parc aux plantes esthétiques...
Une plage aux galets multicolores...
Des schistes tarabiscotés...
Une laisse de mer très graphique...
Des tamaris qu'ont plus qu'leurs os...
Et des vieilles coques qu'ont encore du répondant !
Le paradis, quoi ...
Dans la série d'articles "Plagions nos grands poètes", aujourd'hui, Monsieur Georges Brassens dont nous commémorons actuellement le 30e anniversaire de sa mort et le 90e de sa naissance.
Une vigne catalane retournée à l'état "naturel" m'a fait penser à sa chanson "Dans l'eau de la claire fontaine".
"Avec le pampre de la vigne,
un bout de cotillon lui fit,
mais la belle était si petite
qu'une seule feuille a suffi."
Mon pauvre canard, tu as l'air bien terne dans ce décor psychédélique...
Surtout quand je rencontre un esthétique champ de coquelicots... Pas vous ?
Découverte dans le parc Charles Trenet de Vernet-les-Bains, station thermale au pied du Canigou, cette auto-greffe d'un antique (130 ans) et monumental Magnolia à grandes fleurs.
(L'association "Village-Arborétum" propose des balades découvertes du patrimoine botanique de Vernet. Je vous invite à faire vos curieux sur leur site internet.)
Petites vadrouilles nature mais néanmoins photographiques qui me permettront, au fil des jours et des images, de vous raconter quelques "histoires naturelles".